Ce n'est pas "parce que c'est écrit" qu'il faut le lire...
C'est grâce à bob que j'ai reçu ce "parce que c'est écrit" de Véronique Vanharen gentiment envoyé par Licorne Éditions.
Je me suis arrêtée à la page 81 de ce soi-disant thriller original. J'étais pourtant complètement dans le thème du dernier swap, la peinture. En effet le personnage principal, Flora, est peintre. Elle vit à Genève au bord du Lac Léman. On lui propose enfin une exposition importante à New York. Une fois là bas, elle reçoit d'incompréhensibles lettres (si, si je vous jure même moi je n'y ai rien compris) et les collaboratrices du galeriste (genre coco-girls du cocoricoboy de Collaro) se font agresser.
Je me suis arrêtée non pas en raison des tas de coquilles présentes dans ce roman mais en raison de l'atmosphère de ce roman alourdie par des scènes sexuelles (qui me font dire que ce roman n'est pas à laisser entre toutes les mains) un peu limites et une intrigue qui peine à se nouer... Aucun personnage n'a réussi à retenir mon attention. J'ai donc refermé ce roman sans attendre. La couverture ne me disait déjà rien. Rencontre ratée pour moi et je ne parviens pas à vous trouver d'avis positifs pour contrebalancer le mien...
Un roman qui se perd pour Elfique, Majanissa est comme moi :écoeurée, Marie_L trouve aussi que le lecteur se trouve en position de voyeurs et que les personnages manquent de matière... Bref.