"la jeune fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette

Les titres à rallonge, vous avez reconnu la spécialité de Stieg Larsson. 653 pages.

Ma note : 4/5

La quatrième de couverture est parlant: 

Tandis que Lisbeth salander coule des journées supposées tranquilles aux caraïbes, Mikael Blomkvist, réhabilité, victorieux, est prêt à lancer un n° spécial de Millénium sur un thème brûlant pour des gens hauts placés : une sombre histoire de prostituées exportées des pays de l'Est.

Mikael aimerait surtout revoir Lisbeth. Il la retrouve sur son chemin mais pas vraiment comme prévu : un soir, dans une rue de Stockolm, il la voit échapper de peu à une agression manifestement très planifiée.

Enquêter sur des sujets qui fâchent mafieux et politiciens n'est pas ce qu'on souhaite à deux journalistes amoureux de la vie.

Deux meurtres se succèdent, les victimes enquêtaient pour Millénium. Pire que tout, la police et les médias vont bientôt traquer Lisbeth, coupable toute désignée et qu'on a vite fait de qualifier de tueuse en série au passé psychologique lourdement chargé.

Mais qui était cette gamine attachée su un lit, exposée aux caprices d'un maniaque et qui survivait en rêvant d'un bidon d'essence et d'une allumette ? S'agissait-il d'une fille des pays de l'Est, y a til une hypothèse plus compliquée encore ?

c'est dans cet univers, à cent à l'heure que nous embarque stieg larsson qui signe avec ce deuxièmle volume un thriller au rythme affolant. "

Allez donc voir la critique de Fashion victim, c'est un très bon billet ! http://happyfew.hautetfort.com/litterature_suedoise/

La fin de ce deuxième volume ne nous donne qu'une envie : ouvrir le 3ème !!! 

Je regrette juste d'avoir souvent lu ce livre le soir au fond de mon lit. Le sommeil se faisant chaque fois pressant, je l'ai lu de façon décousu perdant sans doute un peu du rythme de l'histoire (rien de pire que d'être obligée le lendemain de revenir un peu en arrière parce que l'on ne se souvient pas de tout ce que l'on a lu...)

Comments

[dasola]

peut-être le moins des trois parce qu'à la fin on attend le troisième qui termine en beauté cette trilogie haletante, intelligente et admirablement structurée. C'est du grand art. Quel dommage que cet écrivain soit décédé prématurémement.