"Le zahir" de Paulo Coelho
361 pages. Editions Flammarion. Lu dans le cadre du challenge abc 2008 lettre C.
Bof, bof, euh 3/10.
La femme de Paulo Coelho disparaît du jour au lendemain sans laisser de traces. Passée l'incompréhension première, il part à sa rencontre guidé par ceux qui savent où elle est.
J'avais beaucoup aimé "l'alchimiste". Si on retrouve ici l'idée du parcours initiatique, cette fois pour moi cela n'a pas marché... Dommage.
Le zahir c'est "quelque chose que l'on oublie jamais, une fois qu'on l'a touché ou qu'on l'a vu et qui va occuper nos pensées au point de nous conduire à la folie", "un être qui, une fois que nous l'avons rencontré, finit par occuper peu à peu toutes nos pensées au point que nous ne parvenons plus à nous concentrer sur rien".
p.137 "je crois que chaque personne en lisant un livre, crée son propre film dans sa tête, donne un visage aux personnages, construit le scénario, entend les voix, sent les odeurs. Et justement pour cela, quand je vais voir un film réalisé à partir d'un roman que j'ai aimé, je sors toujours avec la sensation d'avoir été trompé et je dis toujours que le livre était meilleur que le film. "